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ULRICH (Charles Frederic), in the land of promise - RAMMSTEIN, Mutter (Childrens Academic Choir)



ULRICH (Charles Frederic), in the land of promise - RAMMSTEIN, Mutter (Childrens Academic Choir)
(taille reelle)
Charles Friederic ULRICH - in the land of promise ()


Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles

Albert COHEN - Le Livre de ma mère

Charles Friederic ULRICH - in the land of promise
Charles Frederic Ulrich (1858 - 1908) était un peintre réaliste américain qui a passé la majeure partie de sa carrière en Allemagne. Il est l'un des rares artistes de cette période à s'occuper de la représentation des problèmes sociaux. Une œuvre notable de cette époque était In the Land of Promise (1884), montrant une immigrante allaitant dans une station d'accueil

Illustration musicale: RAMMSTEIN, Mutter (Childrens Academic Choir)
Rammstein est un groupe allemand de musique metal, originaire de Berlin. Les paroles des chansons reposent sur de nombreux jeux de mots et de nombreux double-sens. Till Lindemann définit sa création comme un don au public d'un texte auquel il donne un sens précis par rapport à ce qu'il vit personnellement. Lorsque la chanson existe, il ne la possède plus et chacun peut percevoir ensuite en elle un événement qui se rapproche de son parcours personnel

Ich durfte keine Nippel lecken
Und keine Falte zum verstecken
Niemand gab mir einen Namen
Gezeugt in Hast und ohne Samen

Der Mutter die mich nie geboren
Hab ich heute Nacht geschworen
Ich werd ihr eine Krankheit schenken
Und sie danach im Fluss versenken

In ihren Lungen wohnt ein Aal
Auf meiner Stirn ein Muttermal
Entferne es mit Messers Kuss
Auch wenn ich daran sterben muss

Mutter, Mutter, Mutter, Mutter

In ihren Lungen wohnt ein Aal
Auf meiner Stirn ein Muttermal
Entferne es mit Messers Kuss
Auch wenn ich verbluten muss

Mutter, oh gib mir Kraft Mutter, Mutter

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Je ne pouvais téter aucun sein
Je n'avais aucun repli pour m'abriter
Personne ne m'a donné de nom
Conçu à la hâte et sans semence

À la mère qui ne m'a jamais fait naître
J'ai juré cette nuit De la rendre malade
Et de la noyer ensuite dans le fleuve
Dans ses poumons loge une anguille
Sur mon visage, il y a une tache de naissance
Que le baiser du couteau me l'enlève!
Même si je dois en mourir

Maman, maman, maman, maman